L'école du climat est une activité de la Fondation Rosa Luxemburg à Dakar en collaboration avec la Plateforme Nationale des Acteurs pour une justice climatique. L'édition de 2024 s'est tenue du 27 octobre au 02 novembre à Kédougou.

L'Afrique du Sud a connu beaucoup de malheur jusqu'à tout récemment, alors que la campagne #Imleaving a repris de l'ampleur. Depuis le début de 2024, beaucoup de ces discussions se sont calmées, en grande partie grâce aux progrès importants réalisés dans l'installation de capacités renouvelables.

Les ressources naturelles de l’Afrique sont loin d'être une malédiction. Elles constituent un potentiel sur lequel nos Etats peuvent se baser pour développer l’Afrique avec comme conditionnalité qu’elles soient bien gérées pour être un moteur de croissance économique.

Les Damnés du climat sont une série d'interviews sur l'impact du changement climatique chez les peuples autochtones.

Les Damnés du climat sont une série d'interviews sur l'impact des changements climatiques chez les peuples autochtones.

Le Sénégal malgré l’évolution de la mise en œuvre de sa stratégie mixte énergétique qui consacre plus de 20% d’énergies renouvelables a décidé en effet d’exploiter le gaz et le pétrole et de mettre en œuvre la stratégie Gaz to power consistant à utiliser le gaz qui sera produit dans le cadre du projet Yaakar pour produire son électricité. Interview de Elimane Kane sur les défis de cette exploitation.

L’exposition « De Johannesburg à Dakar : crises climatiques et solutions transformatives » s’inscrit dans un programme de la Fondation Rosa Luxemburg pour une transformation socio écologique. Les bureaux régionaux de Johannesburg et de Dakar ont travaillé en collaboration à travers une série d’expositions de photos suivies de débats en milieu universitaire afin d’offrir aux étudiants un cadre de réflexion et discussions et de proposition de solutions.

Cet article traite de l'impact des politiques publiques sur le changement climatique dans les villes. Les conséquences de l'exode rural, le parc automobile ainsi que les installations industrielles proches des villes sont tous des facteurs qui contribuent à la menace climatique d'une ville comme Dakar.

Le delta du Niger est une zone cruciale pour l'économie du Nigeria. Cependant, malgré l'abondance des ressources naturelles, les communautés locales souffrent souvent de pauvreté et de sous-développement en raison de la répartition inégale des revenus pétroliers. En outre, l'extraction de pétrole et de gaz a entraîné une importante dégradation de l'environnement et des crises sanitaires au sein des communautés locales, créant à la fois des opportunités et des défis (Ogbebor & Aghoghovwia, 2015).

La maison de l'artiste togolais Koumy est la preuve que l'on peut vivre content et en parfaite harmonie avec la nature dans de petits espaces. La maison de Koumy est un festival de couleurs, une ode à la beauté et à l'harmonie au milieu de la poussière et du béton auxquels nous sommes si habitués dans de nombreuses villes africaines. Surtout, il nous donne des conseils sur la façon dont nous devrions vivre dans une société post-croissance.

À Saint-Louis, Sénégal, la découverte de gisements de gaz au large domine le débat public. Prévue pour 2024, cette exploitation par BP promet un tournant économique, mais suscite l'inquiétude des pêcheurs locaux. Ces derniers, dont la pêche constitue une tradition millénaire, craignent que leur mode de vie et l'environnement soient menacés par les activités gazières.

En Afrique, le climat affecte chaque aspect de la vie quotidienne, bien au-delà des conférences luxueuses. De la vendeuse de cacahuètes au marchand ambulant, le changement climatique touche tout le monde, avec des effets particulièrement visibles dans les pays du Sud. Ce reportage explore les défis quotidiens et les adaptations nécessaires face à une réalité climatique de plus en plus difficile.

Depuis 1987, les eaux du delta du Saloum, au bord de l'océan Atlantique au Sénégal, montent rapidement, entrainant de graves conséquences pour les communautés riveraines. Plusieurs kilomètres de rivage a disparu sous les eaux des riverains, emportant avec lui de nombreux villages, forêts et potagers. Dans de nombreux cas, les personnes qui perdent leur maison sont obligées de se sauver au milieu de la nuit.

La dévastation que le système capitaliste moderne a causée entraîne la disparition de centaines d'espèces d'insectes et de plantes chaque jour. Cependant, certaines communautés se battent sans relâche pour conserver les aliments, la nature et le mode de vie qu'elles ont hérités de leurs ancêtres. Les Bassari du Sénégal tentent de préserver des dizaines de variétés de fonio et de millet pour les générations futures.